Si l’année 2018 s’est clôturée par une crise sociale inédite et la mobilisation des gilets jaunes, le début d’année 2019 peut être synonyme d’espoir. Le choix de Grand Bourgtheroulde et de la ruralité pour le lancement du grand débat national est un signal très positif envoyé par le Président de la République à nos concitoyens.
Notre département de l’Eure a été l’un des plus touchés par la crise des gilets jaunes et je trouve le Président courageux de l’avoir choisi dans un moment d’une si grande importance. Alors qu’Emmanuel Macron catalysait la colère exprimée par les gilets jaunes et plus globalement par une partie de l’opinion, le Président a choisi de revenir au terrain. Devant une assemblée composée de plus de 600 élus locaux, il s’est prêté à un exercice démocratique inédit, répondant précisément et de façon individuelle à la quarantaine de questions qui lui ont été posées.
Un exercice physique et intellectuel qui a levé le voile sur un Président au fait de ses dossiers, qui a su alterner des réponses précises à des questions locales comme à des questions de politique générale.
Je ne peux que saluer son engagement et sa détermination, renouvelés lors des débats suivants à Souillac dans le Lot puis dans la Drôme.
Le Président a tracé le sillon de ce que devait être ce grand débat national : un terrain d’expression libre sans langue de bois, où chacun peut faire valoir propositions, désaccords et arguments.
J’invite désormais toutes celles et ceux qui le souhaitent, élus locaux, associations, patrons de PME, citoyens, artisans, à se saisir collectivement, par-delà les divergences de tout ordre, de la chance offerte par ce grand débat national.
Pour plus d’informations sur le Grand Débat, rendez-vous sur la page dédiée, vous y trouverez l’agenda des débats auxquels je participerai.